29 août 2018
Catégorie : S’inspirer
Uber se lance dans le taxi aérien
Trop de congestion et de pollution sur les routes… alors pourquoi ne pas utiliser l’espace aérien pour transporter les gens plus efficacement et écologiquement. C’est, en gros, le point de départ du projet Uber Elevate.
Au risque d’être un peu cliché, le monde qui nous entoure est souvent un peu trop bourdonnant, intense et ne nous laisse que peu de répit.
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Uber travaille donc sur un projet de taxis mi-hélicoptère mi-drone, électriques, qui relieraient d’abord trois grandes villes : Dallas, Los Angeles et une troisième à définir. Il est d’ailleurs intéressant de noter que pour cette dernière ville Uber n’est pas en recherche active. Au contraire la compagnie propose aux municipalités de se manifester et d’expliquer pourquoi et comment Uber Elevate viendrait améliorer leur offre commerciale et comment ces municipalités comptent aider au développement dudit projet. C’est dire si Uber se sent en position de force. Étonnant quand on voit les déboires rencontrés en Europe et récemment au Québec, sans parler des doutes quant à la valeur réelle de la compagnie sur le marché boursier.
Si le projet fait mention de seulement trois villes pour commencer, il est clair que l’intention est de développer des trajets entre des grandes villes et leurs banlieues. Et elles sont nombreuses ces villes où un trajet depuis la banlieue aux heures de pointe peut rapidement atteindre 1 heure sur la route, quand le même trajet aérien prendrait 15 minutes… Ici nous avons une pensée amicale pour ceux qui doivent faire, matin et soir, un Brossard-Anjou par exemple.
Si le projet fait mention de seulement trois villes pour commencer, il est clair que l’intention est de développer des trajets entre des grandes villes et leurs banlieues. Et elles sont nombreuses ces villes où un trajet depuis la banlieue aux heures de pointe peut rapidement atteindre 1 heure sur la route, quand le même trajet aérien prendrait 15 minutes… Ici nous avons une pensée amicale pour ceux qui doivent faire, matin et soir, un Brossard-Anjou par exemple.
Autre avantage du projet : les faibles infrastructures nécessaires. Pas besoin de ponts, de routes, de tunnels à construire. Ni même de piste d’atterrissage/décollage : les appareils peuvent opérer en vol vertical et il « suffirait » d’utiliser des héliports existants (en haut des immeubles) ou d’en créer un central qui ferait office de Hub, un peu comme Bonaventure à Montréal. Les aéronefs sont prévus initialement pour transporter 2 ou personnes, voler entre 200 et 300km/h avec un rayon d’action de presque 100km et à une altitude entre 300 et 600 mètres.